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Vendredi 27 octobre 20h00
Cérémonie d'ouverture du festival
Présentation théâtralisée du programme.
Durant ces deux week-ends, Saint-Piat accueillera neuf troupes d'amateurs de la région. Au programme : du rire, de la joie, mais aussi beaucoup d'émotion. Entrée libre
Vendredi 27 octobre 21h00
Zone Rouge
Solitude majeure
Alors qu'il voudrait sauter par la fenêtre, un homme en est empêché par une femme médecin qui cherche le pourquoi d'une telle envie.
Comédie sentimentale, douce et tendre dans l'ambiance feutrée d'une chambre d'hôtel où deux solitudes se croisent et s'entremêlent.
Entrée libre - participation volontaire au chapeau
Samedi 28 octobre à 16h00
la Nouvelle Troupe de Chartres
La balade du Chat Noir
Montmartre, Le Chat Noir, Aristide Bruant et Le Mirliton, Yvette Guilbert et Le Divan Japonais...
De 1880 au début de la Première Guerre mondiale, la France des artistes et de la Bohème se retrouve dans les cafés-concerts qui depuis 1868 ont le privilège de pouvoir donner des représentations. Ils s'en donnent à cœur-joie.
Le spectacle fait revivre cette époque surprenante où le monde des pauvres se découvre des chantres, où les artistes côtoient les voyous, et où les gamins de Paris tutoient les grands de ce monde.
Extraits
Samedi 28 octobre 21h00
les Vrais Semblants
Une heure de tranquillité
Michel, passionné de jazz, vient de dénicher un album rare qu’il rêve d’écouter tranquillement dans son salon.
Mais le monde entier :
sa femme … sa fille … sa voisine … sa mère … son meilleur ami … la meilleure amie de sa femme …
semblent s’être ligués contre lui.
Sans compter les travaux.
Manipulateur, menteur, Michel est prêt à tout pour avoir la paix.
Est-il encore possible, aujourd’hui, de disposer d’une petite heure de tranquillité ?
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Dimanche 29 octobre à 16h00
Auteurs de Vues
Le vent des peupliers
Gustave, Fernand et René, trois anciens militaires de la Grande Guerre, passent leur journée sur la terrasse de leur maison de retraite. Pas la terrasse principale, mais celle de derrière, plus petite, isolée.
Gustave est un d’un vieil officier bien né, atterri dans une maison de retraite pour anciens combattants, narquois, entêté et bougon, mal dans sa peau. Il tue le temps comme il peut en d’interminables bavardages, pour le spectateur d’une hilarante vacuité, avec deux autres éclopés de la Première Guerre mondiale.
Fernand, lui, est un colonel lesté d’un éclat d’obus dans le crâne, qui le rend sujet à de fréquentes syncopes aux conséquences parfois saugrenues, quant à René, moins gradé mais pétri de bon sens et prompt à l’enthousiasme malgré une patte folle qui le handicape dans ses courtes promenades autour de l’hospice, en l’empêchant de suivre comme il l’aimerait les ébats champêtres des petites filles du pensionnat voisin, et de leur jeune institutrice.
Au loin mais visible de la maison de retraite, sur la crête d’une haute colline, s’étire une rangée de peupliers qu’agite sans cesse le vent léger d’août. Ils bougent, et dans l’univers clos où nos trois malheureux retraités tournent en rond, c’est même la seule chose qui bouge.
Aussi rêvent-ils de s’évader un jour, de gravir la colline et d’aller jusqu’aux peupliers. Ils savent bien qu’avec leurs multiples handicaps, ce ne sera guère facile. S’ensuit une préparation d’une parfaite drôlerie qu’en bons militaires rodés aux coups de main et soucieux de ne rien laisser au hasard, ils mènent avec méticulosité. Et de scruter l’horizon à la jumelle, d’étudier la carte d’état-major, de rassembler des couvertures, d’apprendre à s’encorder...
Autour de ces riens, et de bien d’autres, Gérald Sibleyras a bâti une trame de désopilants dialogues, ponctués de trouvailles inattendues, nimbant cependant les vieux soldats décatis d’une bienveillante ironie, mêlée de cette pointe de tendresse sans laquelle il n’est point de grand théâtre.
"Le Vent des Peupliers" a été créée en 2003 au théatre Montparnasse avec Georges Wilson, Maurice Chevit et Jacques Sereys dans une mise en scène de Jean Luc Tardieu
Bande annonce
Extraits
Vendredi 3 novembre 21h00
les Tamalous
Mêle Team Potes
Soirée surprise consacrée au théatre (sketches et intermèdes divers)
Quel est le point commun entre
- Une salle de cinéma plus animée que le film projeté
- Une tueuse en quête d’expérience professionnelle
- Un musée dont les nuits sont plus belles que les jours
- Un réalisateur de film en pénurie d’acteurs
- Et une tragédie grecque au temps des romains ?
Les Tamalous sont ce point commun ; ils (se) jouent du théâtre sous ses multiples formes, mêlant tous les genres, avec l’unique envie de vous faire partager leur plaisir d’être sur scène, de vous associer à leur amour du spectacle, et de vous emporter dans leur représentation délirante et surprenante !
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Samedi 4 novembre 16h00
les Baladins de la Diane
Guitry
Projet complémentaire à celui réalisé autour de Feydeau et centralisé autour de Guitry à la fois, auteur, metteur en scène et acteur de ses propres pieces. Sur une musique jazzy, sur ses bons mots, l’auteur regardera et se regardera à travers ces courtes pieces. En complément de la paire de Gifles et du renard et la grenouille, une autre courte est présentée : Un type du genre de Napoléon (il vient voir Madame donc il a été l’amant pendant 3 ans et lui demander des comptes sur des lettres retrouvées dans la doublure d’un fauteuil….)
Samedi 4 novembre 21h00
l'Antre de Melpomène
Les Naufragés des Étoiles
Attention, ceci n’est pas une pièce de théâtre !!
C’est un voyage spatial à partager, le rêve d’un commandant de bord écorché vif, réfugié dans un imaginaire salvateur. Osez l’expérience et embarquez à bord de notre vaisseau spécial
Décollage samedi 4 novembre à 21h depuis l’aéroport de Saint-Piat
Dimanche 5 novembre 16h00
l'Amicale des 4 villages
Pouic-Pouic
POUIC-POUIC est une comédie de Jacques Vilfrid et Jean Girault.
Cynthia Monestier pense avoir trouvé le cadeau idéal pour son mari : une concession pétrolière dans un territoire aux bords de l'Orénoque. Mais Léonard Monestier découvre rapidement que sa femme a été dupée par un escroc. Pour se défaire de cette « concession» encombrante, Léonard décide de la revendre au très riche Antoine Brévin qui est fou amoureux de sa fille, Patricia Monestier. Mais celle-ci a dans le même temps engagé un faux mari, Simon Guilbaut, afin de se débarrasser de son fortuné soupirant…
Si vous n’avez pas tout compris… Tant mieux ! Vous pourrez avoir toutes les explications supplémentaires en venant rire à une de nos représentations…
